Narrativité et écopsychologie

Narrativité et écopsychologie : soigner l’esprit, guérir la terre

Jeudi 28 novembre 2019  salle des colloques 1
 Site de St Charles, Université Paul-Valéry
Rue du Professeur Henri Serre, 34000 Montpellier  – Arrêt Tram Albert 1er.

« L’écopsychologie, située à la charnière des sciences naturelles et des sciences humaines, semble donc intégrer en elle tout ce qui touche la relation unitaire de l’homme avec la nature, et, de la sorte, ses études entretiennent d’étroits rapports avec les courants écosophiques, les pensées traditionnelles et les visions artistiques qui l’ont précédé dans cette démarche. » (Roland de Miller)

Les étudiants et les enseignants chercheurs sont cordialement invités.

Dans le cadre de son séminaire annuel, le centre Théories et pratiques du care, Université Paul-Valéry, Montpellier, avec le soutien de l’équipe LLACS et en collaboration avec LIRDEF, organise une journée d’études ouverte à tous consacrée à l’écopsychologie.

Jeudi 28 novembre 2019

9h Présentation de la journée
par Angela Biancofiore (LLACS) et Clément Barniaudy (LIRDEF)

9h30-12h30 Atelier Le Travail qui relie
avec Marianne Claveau et Michel Maxime Egger

Pause déjeuner

15h Conférence-débat avec Michel Maxime Egger
Narrativité et écopsychologie : « Soigner l’esprit guérir la terre »  

La journée se déroulera à l’Université Paul-Valéry, site de  St. Charles – salle des colloques 1

L’atelier « Le travail qui relie » est inspiré au travail de Joanna Macy, docteur en écophilosophie, spécialiste de l’écologie profonde. Fondatrice et initiatrice du Travail qui relie, elle a créé un cadre théorique nouveau pour la transformation personnelle et sociale, avec une solide méthodologie sous forme d’ateliers, pour mettre en pratique ce changement.

Marianne Claveau est biologiste de formation, elle a travaillé dans le champ de l’éducation au développement durable et de l’animation de collectif pendant 15 ans. Elle est actuellement formatrice pour adultes. Par son travail, elle souhaite contribuer à la construction d’un être ensemble vivant qui permette l’épanouissement individuel et collectif. Marianne a rencontré Le travail qui relie à travers les ouvrages de Joanna Macy et un atelier proposé par Della Ducan. Elle considère Le travail qui relie un processus pour se reconnecter au vivant et entamer la guérison de notre rapport au monde en commençant par nos propres peurs.

Michel Maxime Egger est sociologue. Il réside en Suisse où il anime dans une ONG un Laboratoire de transition intérieure. Il a contribué à l’introduction de l’écopsychologie en Europe à travers ses nombreuses publications: La Terre comme soi-même (2012) et Soigner l’esprit, guérir la Terre (2015), parus chez Labor et Fides, où il codirige la collection « Fondations écologiques ». Voir le site http://trilogies.org/

 Pour toute information et pour les inscriptions à l’atelier « Le travail qui relie »  écrire à tepcare@gmail.com

Pour plus d’information voici le  programme complet

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